Généalogie d’une famille saintoise

De l’Hérault aux Saintes :
les LOGNOS

Dans le prolongement du précieux livre de Patrick Péron : Colons et engagés aux Saintes du XVII ème au XIX ème siècle, paru aux Éditions Nestor en août 2016 et dont j’ai rendu compte dans ma chronique du 12 décembre de cette même année, je vous propose la généalogie d’une famille saintoise établie à Terre-de-Haut probablement depuis 1835 et dont le fondateur, originaire de l’Hérault, n’était autre que Jean-Pierre LOGNOS, dernier maire des deux îles saintoises avant leur séparation en communes distinctes. Sauf pour la descendance saintoise actuelle, les informations qui suivent sont tirées d’un texte de Pierre Bardin, généalogiste, publié en novembre 1993 sur le site Généalogie et histoire de la Caraïbe bulletin Numéro 54, page 899.

Une famille d’origine occitane

Saint-Nazaire-de-Ladarez village d’origine des Lognos dans l’Hérault

Le patronyme occitan LOGNOS (on prononce LOG-NOS) est rare et peu porté aujourd’hui. Le berceau familial est le hameau de Laurenque dans la vallée de l’Orb (il y pousse des orangers), situé à 28 km au nord-ouest de Béziers. On pense que les LOGNOS y vivaient dès le Moyen-Age. Dans le courant du XVI ème siècle, ils partirent s’installer dans deux villages voisins, Roquebrun et Saint-Nazaire de Ladarez où un ancêtre de notre Jean-Pierre deviendra consul vers 1700. Un Jacques LOGNOS, né en 1760, va s’établir à Béziers où son fils Hippolyte, né le 29 fructidor an 13 (16 9 1805), se rendra célèbre, non pas comme riche négociant (son vrai métier) mais comme maire, de 1851 à 1856. En effet, en 1852, partisan de Napoléon III, il soutient le coup d’état du 2 décembre et fait réprimer une insurrection populaire menée par l’ancien maire, Casimir PERET. Bilan : 70 morts, 750 déportés, 2 condamnés à la guillotine et déportation à Cayenne de Casimir PERET qui y mourut en tentant de s’évader.

Aujourd’hui, s’il n’y a plus de LOGNOS à Laurenque et Saint-Nazaire de Ladarez, le nom reste représenté à Vieussan, Roquebrun, Cazouls lès Béziers, Agde, Bessan, Montpellier et   Saint-Georges d’Orques. A Béziers ne vivent plus que deux veuves LOGNOS dont les maris étaient originaires de Laurenque. Saint-Nazaire de Ladarez, village de 350 habitants à 32 kms de Béziers, a conservé ses registres paroissiaux, le plus ancien daté de 1689.

Arrivée de Jean-Pierre LOGNOS en Guadeloupe
et son mariage avec Antoinette DÉHER

Église du Mont-Carmel en Guadeloupe

Les registres de Roquebrun et Laurenque sont déposés aux Archives départementales et ne commencent qu’en 1738. Malgré les « trous » inévitables, il a été possible de retrouver les ascendants directs de Jean-Pierre, parti « vers les Amériques » à une date inconnue. Part-il pour la Guadeloupe comme soldat ou pour « y faire fortune » en perfectionnant son métier de cordonnier ? Lors de son mariage à Terre-de-Haut des Saintes, son premier témoin n’est autre, en effet, que Pierre SOLIER,  maître cordonnier à Basse-Terre. Son mariage avec Marie Antoinette DEHER va le faire entrer de plain pied dans l’histoire de l’archipel guadeloupéen puisque les DEHER figurent parmi les premiers habitants, recensés parmi les protestants de 1687 et très vite passés de Mont-Carmel aux Saintes. A l’instar de son ancêtre consul de Saint-Nazaire de Ladarez, Jean-Pierre LOGNOS deviendra maire de Terre de Haut. (En réalité de Terre-de-Haut et de Terre-de-Bas réunies. Ndlr)

                                                         Installation à Terre-de-Haut

Les LOGNOS sont surtout installés à Terre-de-Haut, plus précisément au Fond Curé, qui est en quelque sorte le creuset antillais de la famille. Certains en partiront pour Trois-Rivières ou Gourbeyre; une seule personne s’installera à Pointe-à-Pitre, Marie-Anne, arrière-grand-mère de notre correspondante (voir GHC 38, 92-118, page 579). Marie-Anne mettra au monde, en 1882, dans la maison de son père Jean-Pierre, un « enfant naturel » prénommé Parfait Joseph Célestin Albert. Elle le reconnaîtra pour son fils en 1884, lui permettant ainsi de porter le nom de LOGNOS, partira s’installer à Pointe-à-Pitre, à l’angle des rues Frébault et Abbé Grégoire, et y décèdera en 1913. Cet enfant aurait pour père, selon la tradition familiale, un enseigne de vaisseau âgé de 32 ans nommé Philippe de CHARTRAND. Notons qu’en 1882, Marie Anne a 32 ans et qu’elle est veuve de Christophe BAUMANN, caporal dans une compagnie disciplinaire. Succomber aux charmes d’un bel officier de marine dans la douceur de la nuit saintoise, rien de plus naturel.

Ancienne maison à Terre-de-Haut de René Lognos, petit-fils de J.P Lognos, aujourd’hui Kaz à Mimi

Mais cette tradition familiale, si elle repose sur un fond de vérité, se heurte à un obstacle majeur : il n’y a pas de dossier d’officier au nom de Philippe de CHARTRAND aux Archives de la Marine à Vincennes. Ajoutons qu’à 32 ans, on a passé le grade d’enseigne. Alors ?L’hypothèse d’un officier de la marine marchande n’est pas à écarter et, si elle n’enlève rien au romantisme de l’aventure, complique sérieusement la recherche. Autre hypothèse, celle d’une rencontre avec un militaire du 1er ou 2ème RIMA, dont on trouve la présence comme témoins dans de nombreux actes aux Saintes à cette époque. Signalons enfin qu’un Antoine LOGNOS figure en 1875 dans les archives du 1er RIMA à Vincennes. Compte tenu de la rareté du patronyme, on peut imaginer qu’il est originaire de l’Hérault et peut-être vint-il saluer des cousins éloignés. Voilà tout ce qu’il est possible de dire en l’état actuel des investigations effectuées.

Descendance saintoise de Jean-Pierre Lognos :
de la première à la 5ème génération 

De son mariage avec Antoinette Déher le 11 mai 1841, Jean-Pierre Lognos eut 7 enfants :  dont les deux premiers meurent prématurément : Jean-Arthur (3.7.43-8.11.1843) et Marie (morte à la naissance le 7.9.1844) – puis viennent Marie-Anne (12.8.1845 -31.3.1913) – Olim Antoinette (12.6.1847- ?) – Jean Isidore (21.10.1849 – 7.8.1907) – Casimir André (28.9.1851 – 26.2.1924) – Rose Hortense (15.10.1856 – 28.2.1916).

Victor Lognos – 1884-1958petit-fils de Jean-Pierre. Lognos

Le 22 janvier 1877, l’un des fils de Jean-Pierre, Casimir André Lognos, âgé de 26 ansépouse à Terre-de-Haut Marie-Léontine Cassin, âgée de 25 ans, fille d’Étienne Guillaume Cassin et de Mariette Bride. Le couple aura six enfants dont Victor et René Lognos. Ces deux derniers, petits-fils de Jean-Pierre Lognos (enfants de la 3ème génération), sont les ascendants directs des actuels Lognos de Terre-de-Haut. Ils vont en effet épouser deux sœurs : Amélie et Thérèse Segrétier qui leur donneront au total 16 enfants.
Victor et Amélie auront pour leur part 6 filles, dont Hortense qui épouse Léon Lorgé, (9 enfants) –  Léontine qui épouse Joubert Joyeux, (5 enfants)- Marie qui épouse Martin Bourgeois (8 enfants) – et Éliane qui épouse Marcel Molinié (3 enfants). Vingt-cinq enfants au total qui portent le nom de leur père respectif :  Lorgé – Joyeux – Bourgeois – Molinié. Les trois autres filles de Victor (Yvette, Robertine et Cécile n’ont pas eu de descendance). La première, Yvette, a fini ses jours en Haïti comme religieuse, supérieure de la congrégation locale des sœurs de Saint-Joseph de Cluny.

René Lognos et Thérèse Segrétier auront de leur côté 10 enfants : 5 garçons et 5 filles. Les 5 garçons (André, René dit Loulou, Michel, Robert et Pierre) vont perpétuer le patronyme de Lognos, tandis que les 5 filles, (Lucienne, Thérèse, Lydie, Fernande et Gisèle) donneront naissance à des enfants qui porteront le nom de leur père : respectivement Lorgé, D’Huy, Dubois, Pouchoux et de nouveau Dubois. Il reste à tous ces descendants encore vivants des  5ème et 6ème générations des LOGNOS de la lignée saintoise, d’établir la généalogie de leur 2ème parent,  – si ce n’est déjà fait – les uns en cherchant celle de leur père, les autres celle de leur mère. 

Avec le salut amical d’un des nombreux descendants de Jean-Pierre Lognos (5ème génération), fils de Léontine Lognos, petit-fils de Victor Lognos, arrière petit-fils de Casimir Lognos et arrière-arrière petit-fils de Jean-Pierre LOGNOS, l’auteur de ce blog :  Raymond Joyeux.

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24 commentaires pour Généalogie d’une famille saintoise

  1. ALAIN dit :

    genial-logique !… comme d’habitude.

  2. yves.espiand@sfr.fr dit :

    M‌on cher Raymond, je parle toujours de souvenir, mais ta recherche généalogique m’a provoqué une pensée profonde à Joubert qui m’a véhiculé pendant trois ans sur Terre de Bas en compagnon de ah! j’oublie son nom par tous les temps. Amicalement

    • raymondjoyeux dit :

      Mon cher Yves, merci pour ton commentaire. La personne que tu cherches et qui te véhiculait avec Joubert à Terre-de-Bas n’était-ce pas Lucien Bonbon ? Ils étaient toujours ensemble, on les appelait aux Saintes Jeanne d’Arc et la Grandière ! De passage à Terre-de-Bas voilà une quinzaine de jours, j’ai évoqué ce fait avec quelques habitants. Ils se souviennent parfaitement de toi. Je n’avais même pas encore prononcé ton nom qu’ils le trouvaient immédiatement. C’est dire qu’en ta qualité de médecin, tu as vraiment marqué – en bien évidemment – l’esprit des Saintois. Et je sais par ailleurs que tu adorais particulièrement cette île !

  3. Debionne Virginie dit :

    Merci Raymond pour ces recherches qui m’ont permis d’en apprendre davantage sur nos origines.
    Virginie Debionne fille de Monique Bourgeois, 8 éme enfant de Marie Lognos et Martin Bourgeois (si on compte Alain mort précocement et qui porte le nombre d’enfant en réalité à 9 pour le couple).

    • raymondjoyeux dit :

      Bonjour Virginie. J’ai pensé à ce garçon décédé de tante Marie. Tu as raison de rectifier le nombre d’enfants de tes grands parents. Si je ne l’ai pas compté c’est qu’il n’a pas laissé de descendance. Mais je me souviens très bien du jour de son décès. J’étais aux Saintes avec tes tantes Evelyne, Yvette et Michèle qui résidaient à l’époque chez tante Roro.. Ça a été un grand choc pour nous.

  4. Nicolas Giffrain dit :

    Merci Raymond, moi qui pensait que les origines étaient Lorientaises (c’est peut-être le cas des Lorgé d’ailleurs…) … c’est toujours très instructif d’en savoir plus sur ses racines et donc un peu sur soi…
    Nicolas Giffrain, petit-fils de Léon et Hortense Lorgé, fils de Denise Lorgé et neveu de Yves, Joseph, Jules, Felix, Suzanne, Andrée, Marie-Ange et Edith. Toujours en contact avec mes cousins germains et même encore en contact regulier et proches avec ma cousine issue de germain adoré Virginie Debionne !!! Ahahaha !!!
    Merci !

    • raymondjoyeux dit :

      Je pense, Nicolas, que les LORGÉ viennent de Bretagne en effet (comme les JOYEUX) ou du moins de l’Ouest de la France. La première mention d’une LORGET en Guadeloupe date de 1667. Il s’agit d’une Marie Catherine née à Basse-Terre à cette date. Mais il n’est pas précisé de quelle origine. En 1703 apparait un LORGÉ aux Saintes, qui se prénommait bizarrement Lieutenant (?). En 1734, un certain LORGER Élie épouse Anne LEMIRE jeune femme née aux Saintes en 1694 (elle avait donc 40 ans !). En 1763 apparaît un Guillaume LORGÉ qui était propriétaire de l’Ilet à Cabris, à l’exception des 50 pas géométriques.
      En 1779, naissance de Luce Adélaïde LORGÉ (fille de Guillaume) qui épousa le célèbre Jean Calot en 1802. Ils ont eu une importante descendance.
      En 1796 mariage de Joseph LORGÉ avec HÉBERT Marie Eulalie. Il était le fils de LORGÉ Élie, marin, natif des Saintes (Marigot)….
      Il serait intéressant de faire la généalogie des Lorgé en partant de ton grand-père Léon, fils de Félix Lorgé etc… pour voir comment ils sont reliés aux précédents. En observant l’évolution de l’orthographe du patronyme…

  5. Alain Thouret dit :

    Toujours aussi passionnant la généalogie, je ne m’en lasse jamais. Celle des saintoises et des saintois est d’autant plus intéressante que leurs ancêtres ont traversé l’atlantique . Je prend l’exemple de mon grand père maternel, il vivait dans un village alsacien (dcd en 1958) et environ 250 ans avant lui ses ancêtres et miens donc y vivaient déjà. C’est à dire vers 1700, l’époque ou les colons arrivaient Saintes . Il y avait les aventuriers et ceux qui n’avaient qu’un même horizon toute leur vie.

  6. LORGE dit :

    Bonjour Raymond j’espère que vous allez bien très intéressant de connaître ses origines merci beaucoup. Je suis Christine la fille de Félix et Jacqueline LORGE

  7. Liliane CORBIN dit :

    Je ne m’aventurerai pas dans les chemins de la poésie. Par contre, je constate, Raymond que vous vous hasardez de plus en plus dans ceux de la généalogie. C’est un domaine qui demande beaucoup de patience mais l’histoire des familles antillaises est si riche et ô combien passionnante que cela vaut la peine de la découvrir !
    Liliane CORBIN

  8. LOGNOS Nathalie dit :

    Bonsoir Raymond,
    Je serais heureuse de vous rencontrer et de pouvoir croiser nos recherches sur les origines des LOG-NOS, de Laurenque à Terre-de-Haut.
    Cordialement.
    Nathalie LOGNOS. Sainte-Rose
    Arrière-arrière-arrière petite-fille de Hypollite, maire de Béziers de 1851 à 1856.
    nathlognos sur GENEANET

  9. Aurélien Aucher dit :

    Merci pour ce retour dans le passé sur Les origines de notre famille qui a su traverser l’Atlantique et dont certains ont aujourd’hui regagné la métropole. Par contre ce qui m’a surpris en arrivant dans Fond de Curé, c’était de voir que les anciens auxquels on se présente comme membre de la famille arrivent à vous dire qui sont vos parents par simple tradition orale, alors que nous autres de la dernière génération ne possèdons pas ce talent et ignorons leur identité. Je comprends mieux pourquoi ma grand mère citait dans toutes ses histoires le lien de filiation de chaque protagoniste. C’était un moyen de transmettre ce savoir (indispensable quand on vit sur une île). Souvent elle parlait des « deux frères qui ont épousé les deux sœurs ». J’arrive maintenant à Les situer grace à vous.
    Aurélien Aucher (fils de Geneviève d’Huy, fille de Thérèse LOGNOS)

  10. Monpoix Anne Marie dit :

    Félicitations Raymond !
    Voilà un instructif recit de généalogie. dommage que très peu de familles pourront en faire autant suite à l incendie du service des archives de la commune…

    • raymondjoyeux dit :

      Merci Anne-Marie. J’ai entendu parler de cet incendie et surtout d’un cyclone qui aurait emporter ou détériorer les archives de la mairie de Terre-de-Haut. Mais je n’ai aucune date précise concernant ces deux événements. Concernant les archives, je doute de leur disparition totale et définitive dans la mesure ou théoriquement les registres existaient (et existent encore sans doute) en plusieurs exemplaires. Je pense donc que ces archives supposées perdues doivent se trouver à Gourbeyre Saint-Charles où ont été transférées celles de la Guadeloupe. Sur le site Archives départementales de Guadeloupe, on peut lire ceci :

      « Créé en 1776 par un édit royal, le Dépôt des papiers publics des colonies, plus communément appelé DPPC, était chargé de conserver au niveau de l’administration centrale sous forme de copies les actes les plus importants rédigés dans les colonies, pouvant garantir les droits des personnes et la sûreté de l’Etat.
      C’est pourquoi les Archives nationales d’outre-mer conservent le troisième exemplaire des registres paroissiaux et d’état civil dressés dans les anciennes colonies. »

      Personnellement je ne m’y suis jamais rendu mais je crois que c’est ouvert au public sous certaines conditions.

  11. Liliane CORBIN dit :

    De nombreux actes de toutes catégories (notamment d’état civil de Trois-Rivières, de Vieux-Fort, des Saintes …) qui se trouvaient au Palais de Justice de Basse-Terre ont été détruits dans l’incendie qui a ravagé ce bâtiment en 1918.
    Liliane CORBIN

    • raymondjoyeux dit :

      Merci Liliane pour cette précision. Je me rappelle avoir consulté à la mairie de Terre-de-Haut en 1965 un registre répertoriant les habitants qui avaient vécu au Grand Ilet. Certains de mes ancêtres du côté de mon père en faisaient partie. Ainsi qu’un registre des esclaves de l’archipel. J’ignore ce que sont devenus ces registres. À l’époque on était peu soucieux de prendre des notes ou de faire des photocopies.

  12. Marlène dit :

    Merci cousin pour ce beau travail de recherche!

  13. BERNARD MOLINIE dit :

    Bonjour à tous, Bonjour Raymond,
    Ton article sur la généalogie des LOGNOS m’a donné l’opportunité de constituer un arbre un peu plus détaillé. De plus les actions des différentes administrations régionales et départementales offrent des outils sur internet qui permettent de rechercher les actes de naissances, mariages, décès. C’est ainsi que dans les archives du LOT(St Nicolas de Ladarez) j’ai retrouvé l’acte de naissance de Jean pierre LOGNOS fils de André LOGNOS cultivateur mort le 08 janvier 1851 et de Anne ARMAND.
    Pour ce qui est de la descendance de Jean Pierre LOGNOS le site de l’ANOM (Archives Nationales d’Outre Mer) permet de retrouver tous les actes jusqu’en 1905 pour Terre de Haut. Ce travail de recherche est long, fastidieux mais tellement satisfaisant lorsque l’on retrouve les informations recherchées. La lecture de ces actes anciens, sachant qu’ils ont été rédigés par ses ancêtres (actes où Jean Pierre LOGNOS se présente et signe comme Maire des Saintes) donne un sentiment particulier de proximité et d’émotion. je serai en Guadeloupe, cet été et je te présenterai les résultats de ces recherches si tu le souhaites.
    Merci d’avoir réveiller ce besoin de connaître ses racines.
    Ton cousin

  14. Pouchoux dit :

    Bonjour Cher Raymond
    Fils ainé de Fernande Pouchoux, née Lognos en 1934, et décédée en 2016, je suis heureux d’entrer en contact avec vous depuis le Loir et Cher
    ( creuset familial dès 1435 de la famille Segretier).
    La société archéologique de Beaugency a rédigé un article sur notre famille avant son départ pour les îles des Amériques
    Bien à vous
    Jean-Yves Pouchoux
    du loir et Cher

  15. Lucile Genin dit :

    Bonjour, petite fille Dubois de Lydie LOGNOS, je suis ravie de découvrir cet article qui retrace cette généalogie. Merci !

  16. Dubois dit :

    Quel bonheur, que de lire cette généalogie jusqu’à ma grand Mère Lydie Dubois, mais qui restera à jamais ma Mamie Zoute.

    Merci,

    Franck Dubois

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